Un festival de la fraternité
La 27e édition du Festival des migrations, des cultures et de la citoyenneté a fermé ses portes le 21 mars et a tenu le pari d’être une fête de partages et d’échanges. Le vivre ensemble fut effectif dans la mesure où chaque participant, chaque visiteur a apporté une partie de lui-même à travers sa culture et son histoire pour les faire connaître.
Toutes les sensibilités littéraires et linguistiques se sont exprimées à travers les écrivains présents au Salon du livre et des cultures et ceux représentés par leurs écrits. Les littératures lusophones (Cap-Vert, Guinée-Bissau, Brésil, Portugal) et francophones diversement représentées par des auteurs africains furent très remarquées, tout comme les œuvres littéraires des pays de l’Europe de l’est, par la présence de la littérature albanaise et de l’ancienne Yougoslavie.
Le Luxembourg étant un pays où se côtoient au moins une centaine de nationalités, il est donc important pour ce genre de manifestation qui prône la diversité culturelle, que l’accent soit mis sur le vivre ensemble à travers des actions concrètes. Ainsi, le partage s’est également exprimé à travers la musique. La scène du festival a accueilli des artistes de tous les continents et de toutes les sensibilités musicales qui allaient du reggae à la Salsa en passant par la rumba, les musiques orientales, le rock et les musiques traditionnelles africaines. La prestation très remarquée des sulfureuses danseuses de samba brésilienne, nous a transporté durant quelques moments au Carnaval de Rio. L’espace dédié à la musique était très fréquenté par les mélomanes.
Cette notion de partage et du vivre ensemble fut encore accentuée par la découverte des différentes spécialités culinaires traditionnelles de Macédoine, de Catalogne, du Cap-Vert, du Sénégal avec son fameux plat national, le tchep dienn et d’autres saveurs toutes aussi enivrantes.
A notre humble avis, les plus belles tranches de ce festival furent les rencontres entre les individus, les échanges que les uns et les autres ont pu faire entre eux, en un mot, le partage à travers le dialogue et la fraternité sans barrière sociale, linguistique et culturelle.
La fête n’aurait eu cette dimension, si à la base, l’organisation n’avait pas été à la hauteur de l’évènement. En effet, l’ingéniosité avec laquelle les stands furent disposés et la facilité de mobilité d’un stand à l’autre, d’une allée à la suivante, sur toute l’étendue du hall des festivités, n’ont fait que renforcer le sentiment de satisfaction générale des visiteurs et des participants. Vivement donc la prochaine édition de ce rendez vous du donner et du recevoir !
Toussaint Douan
Toutes les sensibilités littéraires et linguistiques se sont exprimées à travers les écrivains présents au Salon du livre et des cultures et ceux représentés par leurs écrits. Les littératures lusophones (Cap-Vert, Guinée-Bissau, Brésil, Portugal) et francophones diversement représentées par des auteurs africains furent très remarquées, tout comme les œuvres littéraires des pays de l’Europe de l’est, par la présence de la littérature albanaise et de l’ancienne Yougoslavie.
Le Luxembourg étant un pays où se côtoient au moins une centaine de nationalités, il est donc important pour ce genre de manifestation qui prône la diversité culturelle, que l’accent soit mis sur le vivre ensemble à travers des actions concrètes. Ainsi, le partage s’est également exprimé à travers la musique. La scène du festival a accueilli des artistes de tous les continents et de toutes les sensibilités musicales qui allaient du reggae à la Salsa en passant par la rumba, les musiques orientales, le rock et les musiques traditionnelles africaines. La prestation très remarquée des sulfureuses danseuses de samba brésilienne, nous a transporté durant quelques moments au Carnaval de Rio. L’espace dédié à la musique était très fréquenté par les mélomanes.
Cette notion de partage et du vivre ensemble fut encore accentuée par la découverte des différentes spécialités culinaires traditionnelles de Macédoine, de Catalogne, du Cap-Vert, du Sénégal avec son fameux plat national, le tchep dienn et d’autres saveurs toutes aussi enivrantes.
A notre humble avis, les plus belles tranches de ce festival furent les rencontres entre les individus, les échanges que les uns et les autres ont pu faire entre eux, en un mot, le partage à travers le dialogue et la fraternité sans barrière sociale, linguistique et culturelle.
La fête n’aurait eu cette dimension, si à la base, l’organisation n’avait pas été à la hauteur de l’évènement. En effet, l’ingéniosité avec laquelle les stands furent disposés et la facilité de mobilité d’un stand à l’autre, d’une allée à la suivante, sur toute l’étendue du hall des festivités, n’ont fait que renforcer le sentiment de satisfaction générale des visiteurs et des participants. Vivement donc la prochaine édition de ce rendez vous du donner et du recevoir !
Toussaint Douan
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